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LE BĂŠTISIER DES POLICIERS... |
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Auteur : Michel V. le 22/09/2006 20:05:51
n°41777R0 - LE BĂŠTISIER DES POLICIERS... |
Extraits de rapports authentiques
- Le suspect s'est alors décidé à passer aux aveux sans même qu'on ait à le frapper.
- Comme il devait ĂŞtre pris en charge au plus vite par un asile
d'aliénés, il a été conduit au poste de police.
- Il lui bottait le derrière à tour de bras.
- N'ayant pu abuser de la jeune femme, il la viola sauvagement.
- L'homme Ă©tait assez lucide pour constater qu'il n'avait plus toute sa
lucidité.
- Ayant perdu les deux bras, le conducteur faisait de grands signes pour
attirer l'attention des autres automobilistes.
- Bien que nous étions 5 à encercler l'homme, celui-ci réussit à s'enfuir
sans difficulté.
- N'écoutant que son courage, la policière fut obligée de battre en
retraite.
- Pour sortir, il est clair que l'homme avait d'abord dĂ» entrer.
- Les recherches ont permis de retrouver rapidement les 5 cadavres des 2 disparus.
- Personne n'ayant donné les ordres nécessaires, il n'était pas difficile
d'y obéir.
- Nous avons été obligés de constater le décès avant que le mort ne nous décrive son agresseur.
- Un violent coup de marteau l'avait cloué au lit depuis deux jours.
- Le cadavre ne semblait pas en possession de toutes ses facultés.
- Il est à noter que les deux véhicules sont entrés en collision l'un
avec l'autre exactement le mĂŞme jour.
- Le plaignant, visiblement en état d'ébriété, prétendait s'appeler Jésus
et signa le formulaire d'une croix.
- L'homme qui Ă©tait aussi sourd que son Ă©pouse, ne semblait pas
s'entendre très bien avec elle.
- C'est la pluie qui empĂŞcha le policier de s'apercevoir qu'il neigeait.
- Les neufs coups de couteau sur le cou et le visage de la victime
laissaient croire Ă une mort qui n'Ă©tait pas naturelle.
- L'homme n'accepta de signer la déposition que du bout des lèvres.
- La tête ne lui tenait plus que par la peau du derrière.
- Mort sur le coup, l'homme avait déjà été victime d'un accident
identique l'an dernier.
- Percé de plusieurs balles, le cadavre flottait quand même dans la
rivière.
Que les flics parmis vous ne se sentent surtout pas visés……
Michel
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Auteur : Flo le 22/09/2006 20:17:27
n°41777R1 - mdr |
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Auteur : metallix le 22/09/2006 20:18:45
n°41777R2 - Excellent |
[794] Salut Michel
Faut pas sortir des blagues pareilles, je suis tombé de ma chaise avec ces conneries, la dernière surtout est irrésistible .
@ bientot
metallix
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Auteur : GRIZZLY le 22/09/2006 20:34:41
n°41777R3 - michel V |
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Auteur : fantasio le 22/09/2006 20:44:39
n°41777R4 - hohohoho !!! |
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Auteur : puikoiencore le 22/09/2006 22:07:41
n°41777R5 - Je pari |
que t'as un copain dans un commisariat Belge..
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Auteur : yvelines78 le 22/09/2006 22:18:36
n°41777R6 - et je rajoute une couche... |
Le suspect nous a alors menacés en fronçant les sourcils...
Le cadavre de l’homme qui nous a été présenté correspondait bien à la description de la femme qui avait été vue par les différents témoins.
L’homme avait tenté de forcer toutes les issues de la femme sans parvenir à s’y introduire.
Non seulement la mère n’est pas morte comme le prétendent ses enfants, mais il a même été prouvé qu’elle est en vie.
Le prévenu a attendu d’avoir fini son repas pour commencer une grève de la faim.
L’homme a refusé de reconnaître qu’il nous avait menti en affirmant qu’il était mort.
Dans ce conflit, le rôle des forces de l’ordure a été déterminant...
C’est alors que le suspect a eu l’audace de s’endormir pendant que nous l’interrogions.
Interrogé par nos soins, l’homme a alors menacé de nous répondre si on continuait à l’interroger...
L’homme sortit de son pantalon un engin avec lequel il frappa violemment l’inspecteur à la bouche.
Le garçon de café était une femme...
L’homme nous raconta toute la vérité qui n’était qu’un tissu de mensonges.
L’homme attendait l’autobus d’un oeil suspect...
Les trois africains soupçonnés d’avoir trempé dans l’affaire ont tous été blanchis par l’enquête qui a suivi.
Face à face avec son adversaire, l’homme le prit en traître par derrière...
Son alibi ayant pu être vérifié, nous avons été obligé de constater que le suspect ne pouvait être présent à l’heure dite sur les lieux du vol qu’il avait commis.
L’homme s’est pendu après s’être tranché la gorge.
Dès que l’homme fut abattu, nous avons pu procéder à son interrogatoire.
Il est probable que la suicidée a été lâchement assassinée.
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Auteur : yvelines78 le 22/09/2006 22:25:59
n°41777R7 - ....... |
Les cons, ça ose tout. C’est même à ça qu’on les reconnaît.
Écoute, on t’connaît pas, mais laisse nous t’dire que tu t’prépares des nuits blanches... des migraines... des 'nervous breakdown', comme on dit de nos jours.
Mais moi les dingues, j’les soigne, j’m’en vais lui faire une ordonnance, et une sévère, j’vais lui montrer qui c’est Raoul. Aux quatre coins d’Paris qu’on va l’retrouver, éparpillé par petits bouts façon puzzle... Moi quand on m’en fait trop j’correctionne plus, j’dynamite... j’disperse... et j’ventile...
C’est curieux chez les marins ce besoin de faire des phrases !
Patricia, mon petit... Je voudrais pas te paraître vieux jeu ni encore moins grossier. L’homme de la Pampa, parfois rude, reste toujours courtois mais la vérité m’oblige à te le dire : ton Antoine commence à me les briser menu !
J’te disais que cette démarche ne s’imposait pas. Aujourd’hui, les diplomates prendraient plûtot le pas sur les hommes d’action. L’époque serait aux tables rondes et à la détente. Hein ? Qu’est-ce que t’en penses ?
J’dis pas non.
Mais dis-donc, on est tout de mĂŞme pas venu pour beurrer les sandwichs !
Louis de retour. Présence indispensable. Présence indispensable... Après quinze ans de silence, y’en a qui poussent un peu quand même. Quinze ans d’interdiction de séjour. Pour qu’il abandonne ses cactus et qu’il revienne à Paname, faut qu’il lui en arrive une sévère au vieux Louis. Faut qu’il ait besoin de pognon ou qu’il soit tombé dans une béchamelle infernale.
Mais qu’est-ce que c’était que cette fusillade ? On ne se serait pas permis de vous flinguer sur le domaine ?
Eh ben, on s’est permis.
Touche pas au grisby, salope !
Quand le lion est mort, les chacals se disputent l’empire. On ne peut pas leur en demander plus qu’aux fils de Charlemagne.
Mais ces mecs-là n’auraient quand même pas la prétention d’engourdir le pognon de ma nièce, non ?
J’dis pas que Louis était toujours très social,non, il avait l’esprit de droite. Quand tu parlais augmentation ou vacances, il sortait son flingue avant que t’aies fini, mais il nous a tout de même apporté à tous la sécurité.
Mais y connaît pas Raoul ce mec ! Y va avoir un réveil pénible... J’ai voulu être diplomate à cause de vous tous, éviter qu’le sang coule... Mais maintenant c’est fini... je vais le travailler en férocité... le faire marcher à coups de latte... A ma pogne je veux le voir... Et je vous promets qu’il demandera pardon !... Et au garde-à -vous !
Y’a des impulsifs qui téléphonent, d’autres qui se déplacent.
Le prix s’oublie, la qualité reste.
Les ruptures, les retrouvailles : les fluctuations de la fesse.
Alors ? Y dors le gros con ?... Bah y dormira encore mieux quand il aura pris ça dans la gueule ! Il entendra chanter les anges le gugusse de Montauban... Je vais le renvoyer tout droit à la maison mère... Au terminus des prétentieu
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Auteur : Michel V. le 22/09/2006 22:34:06
n°41777R8 - Puik.... |
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