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  Origine historique de la rouelle Origine historique de la rouelle  

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Auteur : Shiva le 24/04/2007 10:52:40
52659R0 - Origine historique de la rouelle
Salut tout le monde,

Suite à l’article paru dans le dernier DP concernant les rouelles, j’ai moi aussi une petite théorie qui vaut ce qu’elle vaut et dont j'ose aujourd'hui vous faire part. Enfin, il s'agit non pas d'une théorie sur le sens des rouelles à proprement parler, mais sur leur origine historique et culturelle. En effet, bien que beaucoup de ces rouelles ne devaient être finalement que décoratives, il est avéré que certaines sont votives et empreintes donc d’un caractère religieux indéniable. Pour preuve le fait qu’elles soient un des attributs du dieu Taranis et qu’on les retrouve sur les représentations de ce dieu; Pour preuve aussi le fait qu'on en trouve souvent en masse à proximité ou dans les sanctuaires.

Mais quelle est donc l’origine de ces rouelles en tant que symbole religieux ?

Vous connaissez tous mon goût pour le sous-continent indien. Or, lors de mes voyages et depuis que je m’intéresse à la culture hindouiste, j’ai eu la surprise d’être confronté à ce qui pourrait être assimilé à une image de rouelle : la roue du Karma. Dans la religion hindoue, chaque être vivant passe par le cycle des réincarnations, symbolisé par la roue du Karma, une roue à 24 rayons. Ainsi, en fonction des actes de sa vie présente, il se réincarnera dans un niveau supérieur ou dans un niveau inférieur. La roue du Karma tournera donc dans le bon sens ou fera marche arrière en rompant ainsi la loi du Dharma (Equilibre du monde, loi qui régit le monde).

La roue symbolise aussi quelques fois le Dharma (voir plus haut). Dans ce cas, elle ne symbolise plus seulement la vie d'une personne, mais la loi qui régit le monde lui-même dans son entier, au niveau du macrocosme comme du microcosme. Enfreindre ces lois entraîne un déséquilibre qui met en péril le cosmos. Nous sommes tous un élément d'un tout et de ce fait avons une influence sur ce tout.

Je ne rentrerai pas dans le détail de la symbolique religieuse et sur les conséquences par exemple au niveau des castes (je pourrais en parler pendant des heures et vous saouler avec ça), toujours est-il que la roue du Karma figure partout en Inde, jusque sur le drapeau indien et la monnaie (billets et pièces). Il a été choisi pour cela la roue du Karma qui figure sur la colonne de l’empereur Ashoka (304 à 232 avant JC) retrouvée à Sarnath (voir photo).

Or, il est troublant en effet, de constater la similitude entre cette roue et les rouelles que nous trouvons en prospection. Bien sûr, il est rare de trouver des rouelles à 24 rayons (je ne sais même pas si cela existe), mais la symbolique de la roue du Karma ou du Dharma et la symbolique religieuse prêtée aux rouelles votives est finalement assez proche.

Que savons-nous sur l’origine des rouelles en Europe ? Apparemment, elles apparaissent durant l’Age du Bronze Moyen. Or, les populations européennes et les populations indiennes (au moins du Nord) ont les mêmes origines indo-européennes. On ne sait pas clairement quand les peuplades indo-européennes se sont scindées en deux vagues et quand leur expansion vers l’Ouest et vers l’Est s’est effectuée, mais certains auteurs les datent de la fin du néolithique ou du début du chalcolithique. D'autres les datent de l'Age du Bronze. Leur arrivée en Europe de l’Ouest n’est pas non plus clairement établie, puisque j’imagine que l’expansion totale a dû durer peut-être plusieurs siècles. Toutefois, ces peuplades ont apporté avec eux leur langue dont les traces se retrouvent aujourd’hui encore aussi bien dans les langues européennes que dans la langue indienne (Ex : Mata en Hindi pour Mère, Mutter en Allemand, Mother en Anglais, Mater en Latin, …etc), mais certainement aussi leurs croyances religieuses. Il est à ce propos intéressant de voir que les dieux indiens (dont l’origine est très lointaine, probablement à dater de l’Age du Bronze) sont assez proches finalement dans leurs comportements (qualité, défauts proches de ceux des humains) et leurs attributs des anciens dieux de l’Olympe chez les Grecs ou les Romains plus tard.

Ceci m’amène à penser que la rouelle pouvait éventuellement faire partie des symboles religieux des Indo-Européens d’origine et se serait ainsi diffusée dans toute l’Europe mais aussi en Inde sous la forme de la roue du Karma. Cette théorie vaut ce qu’elle vaut, mais cela pourrait expliquer beaucoup de choses. Nous connaissons bien d’autres symboles religieux qui se retrouvent bizarrement dans les deux parties du monde : triskèle, svastika, croix, spirales, … etc. Donc, pourquoi pas cette symbolique de la roue.

Qu’en pensez-vous ?

Shiva





 
Auteur : Michel V. le 24/04/2007 11:04:36
52659R1 - Salut Shiva
Félicitations, c'est une intéressante théorie, qui au moins est fondée sur des éléments connus de l'histoire de l'homme. Bien sûr, çà ne reste qu'une théorie, mais au moins une qui est valable et qui a une certaine crédibilité !!!

a+

Michel
 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 11:05:42
52659R2 - Théorie
Salut Michel

On est d'accord : ce n'est bien sûr qu'une théorie !

Shiva
 
Auteur : titi le 24/04/2007 11:21:05
52659R3 - brillant exposé
SHIVA et MICHEL , cette hypotèse vaut qu'on s'y attarde , ça me paraît tout à fait crédible bonne journée
 
Auteur : mamie bolo le 24/04/2007 11:35:36
52659R4 - BRAVO
[39] bonjour
très bel exposé et très bien expliqué .
Théorie, certes, mais qui me parait crédible ; en tous cas, moi, elle me plait
FĂ©licitation shiva, pour ton savoir . Bises

 
Auteur : mustikos le 24/04/2007 12:32:12
52659R5 - .
Bonjour


Je n'ai pas encore l'article ds les mains, mais je tenais Ă  signaler l'existence, en Bretagne, de roues Ă  carillon.
La photo montre celle de Laniscat. Il en existerait encore quelques unes
dans des chapelles et des Ă©glises du centre-Bretagne.
Ces roues seraient peut-être une lointaine continuation d'un culte solaire lié au Dieu celte Belenos. On les appele 'roue de guérison' entre autre et peuvent être utilisées pour célébrer de joyeux événements comme baptèmes et mariages.
Sans doute un rapport avec les rouelles? Ă  creuser!

bizarre, je peux pas joindre de photos????


 
Auteur : mustikos le 24/04/2007 12:41:34
52659R6 - ha
ca marche!
 
Auteur : cromagnon 07 le 24/04/2007 13:04:20
52659R7 - passionnant
[118] tout le monde
c'est sympas comme sujet et simplement credible ,alors pourquoi pas
dis donc shiva , t'aurai pas des fois une these credible pour les fusaiolles
bien cordialement a tout le monde


 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 13:33:11
52659R8 - Fusa
Pour les fusaïoles, il n'y a pas de mystère puisqu'on sait qu'il s'agit de volants d'inertie de fuseaux (voir définition et photos de fileuses du début du XXe siècle). Le problème se situe plus pour des objets 'fusaïeux', tels les anneaux ou autres. On essaye de trouver une explication unique à des objets qui à mon avis n'ont rien à voir les uns avec les autres.

Mais on s'Ă©loigne de l'objet de ce post ...

Shiva
 
Auteur : Jullien le 24/04/2007 13:46:50
52659R9 - Salut Ă  tous !
Shiva, mon cher frère spirituel

Tu ne seras pas surpris si je t'apprends que je partage une bonne partie de ton analyse

Je n'ai pas encore reçu le dernier DP (Je suis sûr que c'est un complot : Loïc, connaissant mon intérêt pour la question, à dû téléphoner à la RED pour leur dire de me faire patienter jusqu'au bout !!!)

Il y a quelques mois, j'ai dégoté chez un bouquiniste des vieux numéros du magazine Archéologia, pour 1,5 euros pièce

Le N° 23, daté de 1968 (!!!!!!!!!!) m'a particulièrement interpelé, et pour cause ! Voici son titre :

LA ROUE : UNE TECHNIQUE, UN SYMBOLE


 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 13:48:16
52659R10 - Pardon !
Merci Ă  Mamie Bolo, Titi et Mustykos pour vos interventions respectives !

Shiva
 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 13:51:16
52659R11 - Juju
Salut Juju !

C'est, je pense, un détail du temple du soleil à Konarak sur la couverture, non ? Je ne connaissais pas cet Archeologia. Intéressant !

Shiva
 
Auteur : Jullien le 24/04/2007 13:54:05
52659R12 - Le sommaire :
Deux articles devraient particulièrement t'intéresser :

- Le temple de Konarak (par Jeannine Auboyer)
- Images de la roue dans les civilisations eurasiennes (par Vadim Elisseeff)

Figurent Ă©galement d'autres passionnants articles :

- La roue et le Cercle dans l'Islam
- La roue et la Rose dans le symbolisme médiéval

Je n'ai hélas pas de scanneur, mais je peux t'envoyer des photos de ces articles, si tu le souhaites ;)
- Tombes discoĂŻdales au Pays Basque

 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 14:06:45
52659R13 - Yes !!!
Tu m'étonnes que ça m'intéresse !!! Surtout celui-là : Images de la roue dans les civilisations eurasiennes (par Vadim Elisseeff). Ca va exactement dans le sens de mon post !

Tu as mon mail au cas oĂą, non ? Si tu as le temps, Ă  l'occasion ...

Shiva

 
Auteur : Jullien le 24/04/2007 14:08:37
52659R14 - suite
Je cite l'article de Vadim :

Dans le monde des terres eurasiatiques, de l'Oural au Pacifique, l'image de la roue se confond avec celle du soleil que certaines tribus comme les porteurs de la culture Saltovienne, aux confins de l'Oural, appelaient la roue céleste.
Il est actuellement difficile d'Ă©tablir la signification exacte de toutes les variantes telles qu'elles apparaissent sur les gravures rupestres de l'Angara en CisbaĂŻkalie (Fig 1, a,b,c) ou de l'Oural (fig 2) sur les amulettes solaires (fig 3 a,b) sur les Ă©paulettes des costumes de shamans de l'AltaĂŻ (fig 4 a) ou bien encore sur les amulettes des shamans de Mandchourie (fig 4 b).
Les variantes vont du symbole solaire (Fig 5 a,b), à l'mage réaliste d'une roue (ND Jullien : noter la ressemblance avec les rouelles gallo)
Les grand ensembles rupestres de l'Oural ou de la BaĂŻkalie ne comportent qu'exceptionnelement l'image d'une roue. En revanche, les amulettes en bronze de nombreux sorciers de l'Eurasie l'Ă©voquent indubitablement.
[...]
Dans ces régiosn où les documents écrits sont exceptionnels, il conviendrait donc avant tout d'établir un répertoire complet de ces formes avant de pouvoir tenter d'en découvrir la signification et d'en proposer l'interprétation, même sommaire.


Ci-joint la planche de l'article en question :
 
Auteur : Jullien le 24/04/2007 14:12:11
52659R15 - Télépathie ;)))
Héhéhé, si c'est pas de l'anticipation, ça !!!
Tu l'as ici presque en entier, l'article !

Il n' y d'ailleurs pas que les rouelles qui sont concernée : on peut étendre le sujet aux anneaux bouletés !!!!!!
Pour preuve, une photo (elle aussi tirée de l'article de Vadim), qui représente une pendeloque sino-sibérienne à grelots, en bronze :
 
Auteur : Jullien le 24/04/2007 14:15:33
52659R16 - e-mail.
Je n'ai pas ton adresse : envoie moi un mail Ă 

jullien13@yahoo.fr
 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 14:22:02
52659R17 - Yahouuu !
Eh bien ! Je crois qu'il y a encore pas mal à dire sur ce sujet. Je crois qu'il faudrait commencer à considérer l'histoire au niveau mondial et plus seulement local, dans certains cas, comme ici.

Au passage, on peut noter l'étrange similitude entre les pendeloques à béliaires du milieu de la page avec celles présentées dans le dernier DP (tu verras, Juju, si tu le reçois un jour ! ).

Etrange similitude également entre celle en bas à gauche et la roue du Karma présente sur le drapeau indien.

Merci Jullien pour ta contribution Ô combien intéressante !

Shiva


 
Auteur : Shiva le 24/04/2007 14:29:51
52659R18 - Mail
Juju, tu as un
 
Auteur : angeris le 24/04/2007 15:01:53
52659R19 - ...
[139] Excellente théorie Shiva !
Bonne argumentation Julien !

Moi non plus je ne suis pas convaincu que la roue soit symbol de soleil exclusivement, en tout cas pas comme on l'entend. Il suffit simplement de relire nos classique en mythologie ancienne et de s'interresser au symbolisme de notre monde. A mon sens, si la roue est associée au soleil, c'est uniquement à travers le char que conduit Helios et ce cycle quotidien est simplement la représentation de la vie, du cosmos. C'est la roue qui tourne ... Au delà du premier aspect, le symbole de la roue est davantage lié aux cycles de la vie qu'au soleil, mais là encore, ce n'est qu'une métaphore puisque le soleil se 'réincarne' chaque jour.

Les Celtes croyaient en une vie après la mort (pas vraiment la réincarnation) et c'est ce qui les rendait si 'courageux' au combat.

Ci joint un petit texte sur la mytho grecque :

Ovide (43 av. JC , 17 ou 18 ap ) a consigné dans ses 'Métamorphoses', véritable texte fondateur de la mythologie classique, l'histoire de Phaéton, fils de la nymphe Clyméné et de Phébus-Hélios, le (dieu du) Soleil.

Ce mythe d'origine grecque est bien antérieur à l'Empire Romain, et est déjà connu de Platon (427, -348 ) comme on le verra plus bas. Il se pourrait même qu'il ait été connu par les Sumériens (vers -4000 !)

En voici un résumé établi d'après la version d'Ovide:

L'Océanide Clyméné ( Clymène dans la version latine d'Ovide) étant l'épouse de Mérops (qu'elle a trompé avec Phébus), Phaéton entretient de légitimes doutes sur sa filiation divine. Sa mère l'engage donc à en obtenir la confirmation de Phébus lui-même.

Après un long voyage, il arrive enfin au palais du Soleil. Le Soleil l'ayant aperçu l'accueille en fils et lui demande ce qu'il est venu chercher sur ces hauteurs.

Phaéton lui répond qu'il sollicite des gages qui attesteraient qu'il est vraiment issu du dieu, des gages suffisamment forts pour qu'ils chassent tout doute de son esprit. Alors, pour faire plaisir à son fils, Phébus jure sur le Styx de lui accorder tout ce qu'il désire.

A peine a-t-il achevé que Phaéton demande le char de son père et le droit de le conduire pendant une journée.

Aussitôt, le père se repent amèrement de son serment. Il ne peut plus revenir sur son engagement mais tente de dissuader Phaéton car la tâche ne convient ni à ses forces, ni à son jeune âge.

Par tous les moyens, il cherche à faire revenir Phaéton sur son souhait, mais celui-ci, rebelle à ce discours, persiste dans son projet, le dieu du Soleil est alors obligé de se soumettre.

Les chevaux du Soleil pleins de fougue s'élancent mais le joug n'a pas son poids ordinaire. Dès que le quadruple attelage s'en est aperçu, il se précipite, abandonne la piste battue et ne suit plus la même direction qu'auparavant. Phaéton s'épouvante, il ne sait de quel côté tirer les rênes, il ne sait de quel côté est son chemin .

Les chevaux s'élancent, tantôt jusqu'aux étoiles fixées dans les hauteurs, tantôt par des descentes et des précipices, ils tombent dans des espaces voisins de la terre.

Les flammes dévorent alors les lieux les plus élevés de la terre qui se fend, s'entrouvre et se dessèche. De grandes villes périssent avec leurs remparts; des territoires entiers avec leur population sont réduits en cendre par l'incendie. Des forêts brûlent avec les montagnes.

La mer se resserre, des plaines de sables arides remplacent ce qui était naguère l'océan, des montagnes jusque-là couvertes par ses eaux profondes, surgissent.

Alors le souverain des dieux Zeus-Jupiter, pour éviter la destruction de l'Univers, lance sa foudre contre le conducteur du char et réduit son char en miettes.

Phaéton, sa chevelure rutilante ravagée par la flamme, tombe, foudroyé, à travers les airs, où il laisse en passant une longue traînée. Il est précipité au loin dans le fleuve Eridan.

Sil faut en croire la tradition, un jour entier s'écoula sans soleil et l'incendie seul éclaira le monde dévasté.

HELIOS :
Hèlios, dans son appareil de splendeur, monte le matin sur son char attelé de chevaux qui ne respirent que le feu et l'impatience, et il s’élance dans le ciel par sa route accoutumée, dès que l'Aurore lui a ouvert les portes du Jour. S'il lui arrive parfois d'être en retard, c'est, disent les poètes, qu'il s'est oublié dans la couche de Thétis, fille de Nérée, la plus belle des nymphes de la mer. Le soir, il descend au sein des ondes afin de goûter un repos bien mérité, pendant que ses chevaux répareront aussi leurs forces, afin de recommencer bientôt après leur course quotidienne avec une nouvelle ardeur.

On le représente d'ordinaire sous les traits d'un jeune homme à la chevelure blonde, au visage brillant et empourpré : il est couronné de rayons, et parcourt le Zodiaque sur un char tiré par quatre chevaux.


Je suis toujours sidéré par le mal qu'a pu engendré l'interprétation des théories de Freud sur l'analyse des théogonies anciennes et préhistoriques. C'est un peu comme les menhirs phalliques, la grotte vaginale et autres débilités freudiennes à 2 balles ....

@+ les illuminés et gardez votre chemin.

Angeris
 

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