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a la recherche du Graal |
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Auteur : templaris le 23/10/2005 15:13:04
n°21945R0 - a la recherche du Graal |
A LA RECHERCHE DU GRAAL
Qu’est ce que le Graal, un objet de puissance infinie qui serai réceptacle des forces de dieu.
La légende commence avec l’histoire d’un certain Chrestien de Troy, celui ci écris les aventure du roi Arthur et des chevaliers de la table ronde au moyen-age, le roi envoie ses chevaliers au quatre coins du monde pour retrouver le saint Graal, coupe de charpentier ayant servis à recueillir le sang de Jésus sur la croix, puis disparue. Selon la légende quand la coupe seras retrouver, le début d’une nouvelle aire, de paix commencerai et le salut des hommes serai alors acquis.
Selon une autre légende, les templiers, à leurs début furent logés à coté du temple de Salomon, temple ou aurai été caché l’arche d’alliance des Hébreux, contenant les tables de la lois offertes a moise par dieu. Les templiers aurai fait des recherches dans les sous sol du temple pour retrouver la trace de cet objet, ce qui est sur, c’est qu’ils ramenèrent des textes sacrés Hébreux en France et les donnèrent à St Bernard, abbé de Citeaux qui les étudia en demandant l’aide de rabbins.
Une histoire circule sur le fait que les templiers furent également les gardiens de la vrai croix et du saint sépulcre ; lors des guerres croisés, la croix fut prise puis redonnée puis reprise par les musulmans. Elle a disparue depuis. Ils ont été également les détenteurs de plusieurs reliquaires contenant des reliques humaines. L’histoire de Chrestiens de troy fut écrite au moment ou les templiers avait acquis une puissance colossale, il n’est pas exclus que ce soit eux les véritables auteurs de l’histoire d’Arthur car l’auteur a disparu, en admettant qu’il ai bien existé. Il n’a laissé aucunes traces, seulement son roman.
Selon l’histoire, Jeanne d’Arc, pucelle de 17 ans qui sauva la France de l’invasion Anglaise aurai eu pour gonfanon le baucéan templier, noir et blanc, le roi lui donna une épée qu’elle refusa, prétextant que dieu lui en aurai réservé une, son compagnon Gilles de rais va alors chercher une épée gravée de cinq croix qui aurai été caché derrière l’autel de la chapelle st Catherine de Fierbois et la remet à Jeanne. Si le baucéan flotté au dessus de jeanne, son épée lui venez sans doute du temple également, elle disparue par la suite . Cette épée était elle un objet sacré renfermant le pouvoir de vaincre, ceci expliquerai peut étre la victoire incroyable et le retournement de situation en faveur des français. On sait que Gilles de rais était le descendant du maréchal de Guesclin, célèbre héros qui mena la vie dure aux anglais et qui fut selon la légende, un des grands maîtres cachés de l’Ordre qui avait été abolie par le pape Clément 5 depuis des années . On sait également qu’il été lui même un descendant de Robert de craon, second grand maitre de l’ordre et organisateur premier du fonctionnement de celui ci.
Robert de Craon, dit le bourguignon, a participé aux recherche en terre sainte , il faisait parti des huits chevaliers connus , fondateurs de l’ordre.
Bizarrement, on retrouve un Robert de Craon qui au début du quatorzième siècle a servit sous trois papes et six rois. Autant Anglais que Français . Drôle de longévité le robert.
Gilles de rais fut exécuté plus tard pour des crimes horribles d’enfant, plus de trois cent, il cherchait le secret de la pierre philosophale.
Clovis premier roi franc chrétien fracassa la tète de l’un de ses soldats par vengeance car celui ci refusa le fait qu’il s’attribua un vase faisant parti du trésor de guerre de Soisson ; Le soldat cassa le vase pour que Clovis ne puisse pas se l’accaparer. Pourtant, plus tard il donna ce vase à Rémi, son évêque qui le garda toute sa vie, il disparu ensuite, a sa mort. Aurai t’il été sacré ou fabriqué en un métal sacré , pourquoi donné une telle importance à ce vase ?
Qui donc, a travers les siècles, s'est arrangé pour qu'on n'oublie jamais un évènement tellement anodin ? Pour quelles raisons faire absolument retenir à nos petites têtes blondes une chose si futile, sauf si justement elle l'est moins qu'elle n'y paraît ?...
Et quel est donc cette épée que Charlemagne donna à son neveu Roland pour vaincre les maure ?
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Auteur : arnold le 23/10/2005 18:03:34
n°21945R1 - Durandal |
Bonjour Templaris
Les meilleures cachettes sont celles qui sont au vu et au su de tout le monde...
l'origine d'une légende:
En l'an de grâce 777, Charlemagne, qui venait de soumettre les saxons,se trouvait à Paderborn en Westphalie.
Au cours d'un banquet , il reçut le gouverneur arabe de Saragosse : Solimaïn Ibn Yaksan Ibn-Arabi qui venait quérir son aide pour repousser la dictature de Abd-Al-Rhaman.
L'empereur ambitieux voyant dans cette proposition l'occasion d'étendre son hégémonie prépara son plan de campagne en deux armées l'année suivante.
Son armée se composait d' échantillons de tout les peuples soumis et à cette époque; un tel déplacement entraînait sur les routes des populations entières, hommes, femmes, enfants et bestiaux formaient une interminable colonne qui s'étirait sur plusieurs KM.
Et bien sur, il fallait bien nourrir tout ce monde.
Charlemagne choisit de traverser la gascogne pour rejoindre Pampelune, tandis que l'autre convoi passerait par le perthus via Barcelone et Saragosse.
Les populations rencontrées et converties à l'islam, fuyant vers Saragosse famille par famille, n'opposèrent pas de résistance face à ces envahisseurs, dont les soudards se livraient au massacre et au pillage systématique.
Les deux armées arrivèrent devant la ville blanche au son des tambours de guerre Carolingiens.. Charlemagne trouva les portes closes...Solimaïn avait été chassé et remplacé par Hussein-Ibn-Yahya-Al-Ansari.
Charlemagne Ă©tait furieux..des lors les soldats mirent Ă sac toutes les terres avoisinantes.
Face à ce fléau, le nouveau gouverneur de Saragosse entrepris de négocier, fort cher, le départ des envahisseurs...qui s'ébranlèrent lourdement sur le chemin du retour en une seule armée :
La cavalerie sous le commandement du Duc Bernard ouvrait le chemin.
Les chars et la cour carolingienne suivaient; après la cour, un autre solide groupe de cavaliers.
Au centre, les chars et les bêtes de somme chargés de considérables trésors..ensuite, l'infanterie, le ravitaillement, les machines de guerre et les prisonniers.
Et fermant la marche, Ă plusieurs km de l'avant-garde, les cavaliers sous le commandement du Comte Roland.
Cette immense armée, traquée par la cavalerie arabe, ne laissait derrière elle que terres dévastées...au cours d'une escarmouche les prisonniers furent libérés, dont Solimaïn et un chef de guerre du nom de Thalaba, qui n' eut de cesse de se venger.
Charlemagne au comble de la colère arrivait aux portes de Pampelune,que les habitants décoraient, pour accueillir le souverain en amis.
L'empereur donna l'ordre de raser la ville !!
Charlemagne avait commis des erreurs dans sa vie, mais aucune de cette importance...l'incendie de Pampelune est visible à des km à la ronde...l'écho de l'alarme résonne dans les vallées basques.
La grande armée, ralentie par le poids du butin, convaincue de sa toute puissance avançait sans crainte vers les Pyrénées en laissant des trainards avides de saccages.
De Zuberoa, deLarraine, de la plaine d'Errozabal, de la gorge d' Ibaneta et des défilés de Luzaide affluait le farouche peuple basque...
L'attaque est lancée !
L'arrière de la colonne est harcelée sans trêve par cette coalition aidée par les charges meurtrières des cavaliers de Thalaba;.
Une grande partie de l'armée de Charlemagne est anéantie au cours des combats...
De valeureux barons carolingiens vont mourir; parmi eux, Eghinard, qui combattit jusqu'à la mort; Le vaillant Anselme, déchiquetés par les rocs, criblé de flèches; Olivier et Turpîn, l'archevêque , avec la fleur des cavaliers carolingiens...restera ici !
Et celui qui entrera dans la légende : Roland !!
Tout a été si rapide, que Charles tarde à réagir... les hommes du Duc Bernard s'en vont secourir la lointaine arrière-garde...alors que la nuit tombe sur les bois chargés d'antiques craintes, ils surgissent dans une vallée silencieuse uniquement peuplée de cadavres...l'ennemi, les basques, a disparu.
C' était le 15 août de l'an 778...les cols Pyrénéens s'en souviennent encore.
Merci pour les emprunts Ă Antonio Hernandez Palacios dont je recommande l'ouvrage : Roland Ă Roncevaux
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