Auteur : el Caballero le 23/12/2005 15:42:14
n°26388R20 - Bon je laisse mes 'rouelles'où elles son |
|
|
Auteur : monique le 23/12/2005 15:56:17
n°26388R21 - très intéressant sujet .... |
merci Jean-Philippe, ainsi que Michel et Evelyne pour les illustrations.
Pour DP (post de Janus et suivants intéressants aussi
l'article de Mr Mortillet en a déjà pris un coup)
C'est comme tous les mystères on VEUT que cela soit autre chose, ça permet de rêver ....
(je m'auto-censure) Mais non ce n'est pas un mystère, ce sont des rouelles, des rouelles, des rouelles
BONNES FETES Ã tous
Monique
|
|
|
Auteur : JPaul le 23/12/2005 15:57:56
n°26388R22 - bosses et creux fusaiolles |
[220] Bonjour,
En ce qui concernent les bosses, celles ci sont séparées par des ' creux',ce qui, au dire des spécialistes permettaient d'enfiler plusieurs fusaiolles sur le même bâton pour donner + de ' poids' au phénomène de rotation, les creux s'encastrant alors dans les bosses des fusaiolles superposées.
JPaul
|
|
|
Auteur : max01 le 23/12/2005 16:01:19
n°26388R23 - suites !!!!!!! |
[20] Plus simplement dire par emboitement les une sur les autres
|
|
|
Auteur : ANTHRAX le 24/12/2005 08:31:40
n°26388R24 - Pour Janus |
[102] En ce qui concerne les objets trouvés dans la Loire (et autres fleuves ou rivières), l'explication est simple : les gaulois avaient pour tradition lors du franchissement d'un cours d'eau de jeter un bien lors pour satisfaire le 'genie des eau'.
D'ou la présence d'objet tres divers tel que monnaies, fibules, armes, pendeloques......et fusaioles (par radinisme ou par manque de moyen ?)
|
|
|
Auteur : DP le 24/12/2005 12:12:35
n°26388R25 - ... |
Je me souviens avoir lu quelque part qu'au Moyen Age, la tradition persiste en certains endroits, mais on balance un clou dans l'eau ; alors pourquoi pas une fusaïole plus tard (d'autant qu'il semble qu'on balançait aussi à la flotte enseignes et ampoules de retour de pèlerinage ; il n'y a qu'à voir le nombre de ces objets retrouvés lors des dragages de la Seine à Paris).
Il devait également se tenir sur les ponts d'Orléans des échopes et des ateliers de fondeurs, comme à Paris, sans oublier que les fileuses pouvaient œuvrer sur les ponts et au bord du fleuve...
Bref, rien de gaulois là -dedans à mon avis
|
|
|